Je n'ai pas de spécialité en termes d'indication. Je travaille avec la souffrance plutôt qu’avec la pathologie.
Je ne pose pas de diagnostic. Bien que formée à la psychopathologie, je ne m'en sers pas pour diagnostiquer. Seul un psychiatre y est habilité. Si un suivi en parallèle avec un psychiatre ou
un médecin généraliste est approprié, je peux encourager ce suivi et je collabore alors avec les différents praticiens.
Voici ce que les patients renvoient de ce que la thérapie leur apporte :
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Apprendre à se concentrer sur ses ressentis, y donner du sens, identifier ses désirs.
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Améliorer et comprendre ses relations aux autres : à son couple, à sa famille, ses collègues, ses amis.
- Apaiser sa relation au travail, à la sexualité, à sa famille d’origine.
- Retrouver de l’amour pour soi, nourrir sa vitalité, enrichir sa vie intérieure.
- Se sentir moins honteux et culpabilisé.
- Identifier ses ressources et ses limites.
Si cela peut vous aider, j'ai dressé ici une liste non exhaustive des motifs de consultation que je rencontre dans ma pratique.
La souffrance peut prendre différentes couleurs : psychologique, psychosomatique, physique, relationnelle :
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Difficultés dans son couple, ses relations au sens large, la sexualité.
- Difficultés au travail.
- Dépression, burn-out, crises d’angoisse, attaques de panique.
- État anxieux, dépendances, troubles du comportement alimentaire, obsessions, phobies, douleurs chroniques, troubles du sommeil.
- Difficulté devant un événement de vie : chômage, séparation, deuil, parentalité, désir d’enfant, maladie, post-partum.
- Psycho-traumatismes.
- Sentiment d'être pris au piège de répétitions, de relations non satisfaisantes.
- Désir de mieux se connaître, de comprendre qui on est.